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Jean-Paul ULPATArt et Pinceaux

"L'art naît du matériau."

 

La rivière et le temps sculptent les racines, la rivière engrossant le fleuve se jette dans la mer, la tectonique des plaques relève le fond des océans jusqu'à ces montagnes où Jean-Paul ULPAT refaçonne les racines, les cailloux, la matière naturelle autant que celle travaillée par l'homme, haussant ainsi notre regard sur ce monde bouleversant.

 

Il hausse notre regard... . C'est -à-dire qu'il le décale en lui donnant de l'altitude - une façon paradoxale de lui rendre la profondeur qu'avec l'art coté en bourse, il a perdu.
De ces bois fossiles et martyrs, de ces racines émergeant d'un théâtre flottant, des champignons sur son radeau-rideau de fond de scène, de la matière organique extraite des forêts, de l'eau et de la roche, aussi bien que des déchets de nos artifices qui les polluent souvent; du papier, de la ferraille et du plastoc surgit un peuple de créatures torturées, tout un bestiaire grotesque et poétique, tout un monde cruel et de guingois, pantelant, dans lequel l'humour noir ou décalé n'est jamais absent.
Jean Paul a le sens du bizarre de l'incongru, le sens d'un absurde du quotidien de l'humanité que n'aurait pas renié  Alfred Jarry: après nous le déluge et qui Ubu boira !
Son art sans école, mais pas sans influences (disons plutôt confluences) s'est creusé et a trouvé son cours avec le temps et, bien sûr, il n'a pas échappé aux doutes, aux ratures et aux tâtonnements. Mais c'est aussi le travail de la nature et de la vie, dans le recyclage infini de l'évolution.
Rien ne se crée, tout se recycle: c'est à nouveau, comme tous les artistes, l'Iliade et l'Odyssée que nous content ses sculptures, les visages spectraux ou lunaires de ses peintures et de ses collages, mais Iliade et Odyssée hylétiques : en rapport avec la matière de l'univers. Nous sommes de la poussière, d'étoile certes, mais de la poussière !
<< L'art naît du matériau >> disait donc Dubuffet. Cette phrase a suscité la vocation créatrice de Jean Paul et son inspiration y a pris son départ singulier. Et comme le disait Allain Leprest dans cet art singulier qu'est aussi la chanson: << c'est facile d'aller loin, c'est partir qu'est pas rien. >>
Alors n'hésitez pas à partir pour le monde original de ce créateur, il vous emmènera loin. Loin, au plus proche de ce que nous sommes
Il hausse notre regard... . C'est -à-dire qu'il le décale en lui donnant de l'altitude - une façon paradoxale de lui rendre la profondeur qu'avec l'art coté en bourse, il a perdu.
De ces bois fossiles et martyrs, de ces racines émergeant d'un théâtre flottant, des champignons sur son radeau-rideau de fond de scène, de la matière organique extraite des forêts, de l'eau et de la roche, aussi bien que des déchets de nos artifices qui les polluent souvent; du papier, de la ferraille et du plastoc surgit un peuple de créatures torturées, tout un bestiaire grotesque et poétique, tout un monde cruel et de guingois, pantelant, dans lequel l'humour noir ou décalé n'est jamais absent.
Jean Paul a le sens du bizarre de l'incongru, le sens d'un absurde du quotidien de l'humanité que n'aurait pas renié  Alfred Jarry: après nous le déluge et qui Ubu boira !
Son art sans école, mais pas sans influences (disons plutôt confluences) s'est creusé et a trouvé son cours avec le temps et, bien sûr, il n'a pas échappé aux doutes, aux ratures et aux tâtonnements. Mais c'est aussi le travail de la nature et de la vie, dans le recyclage infini de l'évolution.
Rien ne se crée, tout se recycle: c'est à nouveau, comme tous les artistes, l'Iliade et l'Odyssée que nous content ses sculptures, les visages spectraux ou lunaires de ses peintures et de ses collages, mais Iliade et Odyssée hylétiques : en rapport avec la matière de l'univers. Nous sommes de la poussière, d'étoile certes, mais de la poussière !
<< L'art naît du matériau >> disait donc Dubuffet. Cette phrase a suscité la vocation créatrice de Jean Paul et son inspiration y a pris son départ singulier. Et comme le disait Allain Leprest dans cet art singulier qu'est aussi la chanson: << c'est facile d'aller loin, c'est partir qu'est pas rien. >>

Alors n'hésitez pas à partir pour le monde original de ce créateur, il vous emmènera loin. Loin, au plus proche de ce que nous sommes

 

Il hausse notre regard... . C'est -à-dire qu'il le décale en lui donnant de l'altitude - une façon paradoxale de lui rendre la profondeur qu'avec l'art coté en bourse, il a perdu.
De ces bois fossiles et martyrs, de ces racines émergeant d'un théâtre flottant, des champignons sur son radeau-rideau de fond de scène, de la matière organique extraite des forêts, de l'eau et de la roche, aussi bien que des déchets de nos artifices qui les polluent souvent; du papier, de la ferraille et du plastoc surgit un peuple de créatures torturées, tout un bestiaire grotesque et poétique, tout un monde cruel et de guingois, pantelant, dans lequel l'humour noir ou décalé n'est jamais absent.
Jean Paul a le sens du bizarre de l'incongru, le sens d'un absurde du quotidien de l'humanité que n'aurait pas renié  Alfred Jarry: après nous le déluge et qui Ubu boira !
Son art sans école, mais pas sans influences (disons plutôt confluences) s'est creusé et a trouvé son cours avec le temps et, bien sûr, il n'a pas échappé aux doutes, aux ratures et aux tâtonnements. Mais c'est aussi le travail de la nature et de la vie, dans le recyclage infini de l'évolution.
Rien ne se crée, tout se recycle: c'est à nouveau, comme tous les artistes, l'Iliade et l'Odyssée que nous content ses sculptures, les visages spectraux ou lunaires de ses peintures et de ses collages, mais Iliade et Odyssée hylétiques : en rapport avec la matière de l'univers. Nous sommes de la poussière, d'étoile certes, mais de la poussière !
<< L'art naît du matériau >> disait donc Dubuffet. Cette phrase a suscité la vocation créatrice de Jean Paul et son inspiration y a pris son départ singulier. Et comme le disait Allain Leprest dans cet art singulier qu'est aussi la chanson: << c'est facile d'aller loin, c'est partir qu'est pas rien. >>
Alors n'hésitez pas à partir pour le monde original de ce créateur, il vous emmènera loin. Loin, au plus proche de ce que nous sommes

Il hausse notre regard... C'est-à-dire qu'il le décale en lui donnant de l'altitude - une façon paradoxale de lui rendre la profondeur qu'avec l'art coté en bourse, il a perdu.

 

De ces bois fossiles et martyrs, de ces racines émergeant d'un théâtre flottant, des champignons sur son radeau-rideau de fond de scène, de la matière organique extraite des forêts, de l'eau et de la roche, aussi bien que des déchets de nos artifices qui les polluent souvent; du papier, de la ferraille et du plastoc surgit un peuple de créatures torturées, tout un bestiaire grotesque et poétique, tout un monde cruel et de guingois, pantelant, dans lequel l'humour noir ou décalé n'est jamais absent.

 

Jean Paul a le sens du bizarre, de l'incongru, le sens d'un absurde du quotidien de l'humanité que n'aurait pas renié  Alfred Jarry: après nous le déluge et qui Ubu boira !

 

Son art sans école, mais pas sans influences (disons plutôt confluences) s'est creusé et a trouvé son cours avec le temps et, bien sûr, il n'a pas échappé aux doutes, aux ratures et aux tâtonnements. Mais c'est aussi le travail de la nature et de la vie, dans le recyclage infini de l'évolution.

 

Rien ne se crée, tout se recycle: c'est à nouveau, comme tous les artistes, l'Iliade et l'Odyssée que nous content ses sculptures, les visages spectraux ou lunaires de ses peintures et de ses collages, mais Iliade et Odyssée hylétiques : en rapport avec la matière de l'univers. Nous sommes de la poussière, d'étoile certes, mais de la poussière !

 

<< L'art naît du matériau >> disait donc Dubuffet. Cette phrase a suscité la vocation créatrice de Jean Paul et son inspiration y a pris son départ singulier. Et comme le disait Allain Leprest dans cet art singulier qu'est aussi la chanson: << c'est facile d'aller loin, c'est partir qu'est pas rien. >>

 

Alors n'hésitez pas à partir pour le monde original de ce créateur, il vous emmènera loin. Loin, au plus proche de ce que nous sommes.

 

OAK


Il hausse notre regard... . C'est -à-dire qu'il le décale en lui donnant de l'altitude - une façon paradoxale de lui rendre la profondeur qu'avec l'art coté en bourse, il a perdu.
De ces bois fossiles et martyrs, de ces racines émergeant d'un théâtre flottant, des champignons sur son radeau-rideau de fond de scène, de la matière organique extraite des forêts, de l'eau et de la roche, aussi bien que des déchets de nos artifices qui les polluent souvent; du papier, de la ferraille et du plastoc surgit un peuple de créatures torturées, tout un bestiaire grotesque et poétique, tout un monde cruel et de guingois, pantelant, dans lequel l'humour noir ou décalé n'est jamais absent.
Jean Paul a le sens du bizarre de l'incongru, le sens d'un absurde du quotidien de l'humanité que n'aurait pas renié  Alfred Jarry: après nous le déluge et qui Ubu boira !
Son art sans école, mais pas sans influences (disons plutôt confluences) s'est creusé et a trouvé son cours avec le temps et, bien sûr, il n'a pas échappé aux doutes, aux ratures et aux tâtonnements. Mais c'est aussi le travail de la nature et de la vie, dans le recyclage infini de l'évolution.
Rien ne se crée, tout se recycle: c'est à nouveau, comme tous les artistes, l'Iliade et l'Odyssée que nous content ses sculptures, les visages spectraux ou lunaires de ses peintures et de ses collages, mais Iliade et Odyssée hylétiques : en rapport avec la matière de l'univers. Nous sommes de la poussière, d'étoile certes, mais de la poussière !
<< L'art naît du matériau >> disait donc Dubuffet. Cette phrase a suscité la vocation créatrice de Jean Paul et son inspiration y a pris son départ singulier. Et comme le disait Allain Leprest dans cet art singulier qu'est aussi la chanson: << c'est facile d'aller loin, c'est partir qu'est pas rien. >>
Alors n'hésitez pas à partir pour le monde original de ce créateur, il vous emmènera loin. Loin, au plus proche de ce que nous sommes

 

 

De ces bois fossiles et martyrs, de ces racines émergeant d'un théâtre flottant, des champignons sur son radeau-rideau de fond de scène, de la matière organique extraite des forêts, de l'eau et de la roche, aussi bien que des déchets de nos artifices qui les polluent souvent; du papier, de la ferraille et du plastoc surgit un peuple de créatures torturées, tout un bestiaire grotesque et poétique, tout un monde cruel et de guingois, pantelant, dans lequel l'humour noir ou décalé n'est jamais absent.
Jean Paul a le sens du bizarre de l'incongru, le sens d'un absurde du quotidien de l'humanité que n'aurait pas renié  Alfred Jarry: après nous le déluge et qui Ubu boira !
Son art sans école, mais pas sans influences (disons plutôt confluences) s'est creusé et a trouvé son cours avec le temps et, bien sûr, il n'a pas échappé aux doutes, aux ratures et aux tâtonnements. Mais c'est aussi le travail de la nature et de la vie, dans le recyclage infini de l'évolution.
Rien ne se crée, tout se recycle: c'est à nouveau, comme tous les artistes, l'Iliade et l'Odyssée que nous content ses sculptures, les visages spectraux ou lunaires de ses peintures et de ses collages, mais Iliade et Odyssée hylétiques : en rapport avec la matière de l'univers. Nous sommes de la poussière, d'étoile certes, mais de la poussière !
<< L'art naît du matériau >> disait donc Dubuffet. Cette phrase a suscité la vocation créatrice de Jean Paul et son inspiration y a pris son départ singulier. Et comme le disait Allain Leprest dans cet art singulier qu'est aussi la chanson: << c'est facile d'aller loin, c'est partir qu'est pas rien. >>
Alors n'hésitez pas à partir pour le monde original de ce créateur, il vous emmènera loin. Loin, au plus proche de ce que nous sommes

 

 

<< L'art naît du matériau. >>
La rivière et le temps sculptent les racines, la rivière engrossant le fleuve se jette dans la mer, la tectonique des plaques relève le fond des océans jusqu'à ces montagnes où Jean Paul ULPAT refaçonne les racines, les cailloux, la matière naturelle autant que celle travaillée par l'homme, haussant ainsi notre regard sur ce monde bouleversant.
 Il hausse notre regard... . C'est -à-dire qu'il le décale en lui donnant de l'altitude - une façon paradoxale de lui rendre la profondeur qu'avec l'art coté en bourse, il a perdu.
De ces bois fossiles et martyrs, de ces racines émergeant d'un théâtre flottant, des champignons sur son radeau-rideau de fond de scène, de la matière organique extraite des forêts, de l'eau et de la roche, aussi bien que des déchets de nos artifices qui les polluent souvent; du papier, de la ferraille et du plastoc surgit un peuple de créatures torturées, tout un bestiaire grotesque et poétique, tout un monde cruel et de guingois, pantelant, dans lequel l'humour noir ou décalé n'est jamais absent.
Jean Paul a le sens du bizarre de l'incongru, le sens d'un absurde du quotidien de l'humanité que n'aurait pas renié  Alfred Jarry: après nous le déluge et qui Ubu boira !
Son art sans école, mais pas sans influences (disons plutôt confluences) s'est creusé et a trouvé son cours avec le temps et, bien sûr, il n'a pas échappé aux doutes, aux ratures et aux tâtonnements. Mais c'est aussi le travail de la nature et de la vie, dans le recyclage infini de l'évolution.
Rien ne se crée, tout se recycle: c'est à nouveau, comme tous les artistes, l'Iliade et l'Odyssée que nous content ses sculptures, les visages spectraux ou lunaires de ses peintures et de ses collages, mais Iliade et Odyssée hylétiques : en rapport avec la matière de l'univers. Nous sommes de la poussière, d'étoile certes, mais de la poussière !
<< L'art naît du matériau >> disait donc Dubuffet. Cette phrase a suscité la vocation créatrice de Jean Paul et son inspiration y a pris son départ singulier. Et comme le disait Allain Leprest dans cet art singulier qu'est aussi la chanson: << c'est facile d'aller loin, c'est partir qu'est pas rien. >>
Alors n'hésitez pas à partir pour le monde original de ce créateur, il vous emmènera loin. Loin, au plus proche de ce que nous sommes
.OAK
<< L'art naît du matériau. >>
La rivière et le temps sculptent les racines, la rivière engrossant le fleuve se jette dans la mer, la tectonique des plaques relève le fond des océans jusqu'à ces montagnes où Jean Paul ULPAT refaçonne les racines, les cailloux, la matière naturelle autant que celle travaillée par l'homme, haussant ainsi notre regard sur ce monde bouleversant.
 Il hausse notre regard... . C'est -à-dire qu'il le décale en lui donnant de l'altitude - une façon paradoxale de lui rendre la profondeur qu'avec l'art coté en bourse, il a perdu.
De ces bois fossiles et martyrs, de ces racines émergeant d'un théâtre flottant, des champignons sur son radeau-rideau de fond de scène, de la matière organique extraite des forêts, de l'eau et de la roche, aussi bien que des déchets de nos artifices qui les polluent souvent; du papier, de la ferraille et du plastoc surgit un peuple de créatures torturées, tout un bestiaire grotesque et poétique, tout un monde cruel et de guingois, pantelant, dans lequel l'humour noir ou décalé n'est jamais absent.
Jean Paul a le sens du bizarre de l'incongru, le sens d'un absurde du quotidien de l'humanité que n'aurait pas renié  Alfred Jarry: après nous le déluge et qui Ubu boira !
Son art sans école, mais pas sans influences (disons plutôt confluences) s'est creusé et a trouvé son cours avec le temps et, bien sûr, il n'a pas échappé aux doutes, aux ratures et aux tâtonnements. Mais c'est aussi le travail de la nature et de la vie, dans le recyclage infini de l'évolution.
Rien ne se crée, tout se recycle: c'est à nouveau, comme tous les artistes, l'Iliade et l'Odyssée que nous content ses sculptures, les visages spectraux ou lunaires de ses peintures et de ses collages, mais Iliade et Odyssée hylétiques : en rapport avec la matière de l'univers. Nous sommes de la poussière, d'étoile certes, mais de la poussière !
<< L'art naît du matériau >> disait donc Dubuffet. Cette phrase a suscité la vocation créatrice de Jean Paul et son inspiration y a pris son départ singulier. Et comme le disait Allain Leprest dans cet art singulier qu'est aussi la chanson: << c'est facile d'aller loin, c'est partir qu'est pas rien. >>
Alors n'hésitez pas à partir pour le monde original de ce créateur, il vous emmènera loin. Loin, au plus proche de ce que nous sommes
.OAK